CHATGPT : une révolution dans l’IA nous dit-on.

Quelques questions posées (en gras) et les réponses obtenues (en italique).

Rubrique : CLIMAT et METEO

           1) Quelle est la puissance énergétique reçue sur terre à l’occasion d’éruptions solaires ?

Les éruptions solaires peuvent libérer d’énormes quantités d’énergie sous forme de rayonnement électromagnétique, de particules énergétiques et de plasma qui peuvent affecter la Terre. La puissance énergétique totale reçue sur Terre dépend de nombreux facteurs tels que la taille et l’intensité de l’éruption solaire, ainsi que de la distance entre la Terre et le Soleil.

Cependant, en moyenne, la quantité d’énergie reçue sur Terre lors d’une éruption solaire peut être estimée à environ 1 à 6 watts par mètre carré de surface terrestre. Cette quantité peut augmenter considérablement pendant une tempête géomagnétique, qui se produit lorsque les particules énergétiques solaires interagissent avec le champ magnétique de la Terre.

Il est important de noter que même si la puissance énergétique reçue sur Terre lors d’une éruption solaire est relativement faible, les effets peuvent être importants, notamment en perturbant les réseaux électriques, les communications satellites et les systèmes de navigation.

Les éruptions solaires peuvent libérer d’énormes quantités d’énergie sous forme de rayonnement électromagnétique, de particules chargées et de vent solaire. Cette énergie peut avoir des effets significatifs sur la Terre, notamment en perturbant les communications, les réseaux électriques et les satellites.

En termes de puissance énergétique reçue sur Terre, cela dépend de nombreux facteurs tels que l’intensité de l’éruption solaire, la direction dans laquelle elle est dirigée, la densité du plasma dans l’environnement spatial, ainsi que la distance entre la Terre et le Soleil.

Cependant, pour donner une idée approximative, une éruption solaire de classe X1 peut libérer environ 10^24 joules d’énergie. Si toute cette énergie atteignait la Terre, elle serait suffisante pour alimenter la planète entière pendant plusieurs années. Cependant, en réalité, seule une petite fraction de cette énergie parvient à atteindre la Terre en raison des phénomènes d’atténuation et de dispersion dans l’environnement spatial.

Nota –  Wikipédia indique : «Les différentes classes sont nommées A, B, C, M et X. Chaque classe correspond à une éruption solaire d’une intensité dix fois supérieure à la précédente, où la classe X correspond aux éruptions solaires ayant une intensité de 10−3 W/m2 »  ChatGPT doit confondre les watts et les milliwatts.  Ceci dit, 1 milliwatt sur la surface éclairée de la planète (au moins 1/4 de la surface totale) cela représente 142 centrales nucléaires de 900 mégawatts.

       2) Quelle quantité de CO2 est absorbée par la biomasse chaque année ?

La quantité de dioxyde de carbone (CO2) absorbée par la biomasse chaque année dépend de nombreux facteurs, tels que la taille et la densité de la biomasse, les conditions environnementales locales (par exemple, la température, l’humidité, la disponibilité en nutriments), les pratiques de gestion de la biomasse, et d’autres facteurs.

Cependant, en général, la quantité de CO2 absorbée par la biomasse est estimée à environ 120 milliards de tonnes par an, selon les estimations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Cette estimation comprend l’absorption de CO2 par les forêts, les prairies, les cultures, les océans et d’autres écosystèmes terrestres et aquatiques.

Il convient de noter que la capacité de la biomasse à absorber le CO2 dépend également de la disponibilité des nutriments nécessaires pour la croissance, tels que l’azote, le phosphore et le potassium, ainsi que de la présence d’autres facteurs qui peuvent limiter la croissance, tels que les maladies, les parasites et les conditions météorologiques extrêmes.

           3) Quelle quantité de CO2 est-elle produite chaque année par les activités humaines ?

Selon les estimations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les activités humaines produisent actuellement environ 36 milliards de tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an. Cette estimation comprend les émissions de CO2 provenant de la combustion de combustibles fossiles tels que le charbon, le pétrole et le gaz naturel pour produire de l’énergie, ainsi que d’autres sources telles que la déforestation, l’agriculture et l’industrie.

Il est important de noter que le CO2 est un gaz à effet de serre qui contribue au réchauffement climatique, en emprisonnant la chaleur dans l’atmosphère terrestre. Les émissions de CO2 provenant des activités humaines sont l’une des principales causes du changement climatique observé à l’échelle mondiale. Pour lutter contre ce problème, il est nécessaire de réduire les émissions de CO2 en adoptant des pratiques plus durables et en développant des sources d’énergie renouvelable.

           4) Sur Terre, le CO2 produit par les activités humaines est-il totalement absorbé par les plantes ?

Non, le CO2 produit par les activités humaines n’est pas totalement absorbé par les plantes. Bien que les plantes jouent un rôle important dans l’absorption du CO2 dans l’atmosphère, elles ne peuvent pas absorber toutes les émissions de CO2 produites par les activités humaines.

Le CO2 est un gaz à effet de serre qui peut rester dans l’atmosphère pendant des centaines d’années, et une grande partie de celui produit par les activités humaines est libérée dans l’atmosphère et s’accumule. Cette accumulation de CO2 dans l’atmosphère est la principale cause du changement climatique observé à l’échelle mondiale.

En outre, les écosystèmes naturels tels que les forêts et les océans peuvent absorber le CO2 de l’atmosphère, mais leur capacité à le faire est limitée et peut être affectée négativement par le changement climatique lui-même. Il est donc important de réduire les émissions de CO2 en adoptant des pratiques plus durables et en développant des sources d’énergie renouvelable pour lutter contre le changement climatique.

           5) Quelle quantité de CO2 les plantes produisent-elles chaque année sur terre ?

Les plantes produisent du dioxyde de carbone (CO2) dans le cadre du processus de respiration cellulaire, qui est le processus par lequel les plantes utilisent les sucres et autres nutriments produits par la photosynthèse pour produire de l’énergie pour leur propre métabolisme. Cependant, lors de la photosynthèse, les plantes absorbent beaucoup plus de CO2 qu’elles n’en produisent lors de la respiration.

En général, les plantes produisent nettement moins de CO2 qu’elles n’en absorbent. En fait, les plantes sont un puits net de CO2, car elles absorbent environ 120 milliards de tonnes de CO2 par an grâce à la photosynthèse, alors qu’elles ne produisent que 60 milliards de tonnes de CO2 par an grâce à la respiration cellulaire.

Il est important de noter que les plantes peuvent également produire du CO2 lorsqu’elles sont brûlées ou décomposées, mais cela est généralement considéré comme une libération de carbone stocké dans la biomasse plutôt que comme une production de CO2 par les plantes elles-mêmes.

Nota – Si l’on fait la synthèse sur le CO2 en une année, les activités humaines produisent 36 milliards de tonnes, les plantes 60 milliards soit 96 milliards de tonnes. Les plantes en consomment 120 milliards de tonnes. Pourquoi donc en reste-t-il ?

           6) Si les activités humaines produisent 36 milliards de tonnes de CO2 par an, que les plantes en produisent 60 milliards de tonnes par an mais qu’elles en consomment 120 milliards de tonnes, pourquoi reste-t-il du CO2 dans l’atmosphère ?

Les activités humaines produisent 36 milliards de tonnes de CO2 par an, tandis que les plantes en produisent 60 milliards de tonnes par an grâce à la respiration cellulaire. Cependant, les plantes absorbent également beaucoup plus de CO2 qu’elles n’en produisent grâce à la photosynthèse, en absorbant environ 120 milliards de tonnes de CO2 par an.

Malgré cela, il y a encore une accumulation de CO2 dans l’atmosphère terrestre, car la quantité de CO2 produite par les activités humaines dépasse la capacité de la biosphère à l’absorber complètement. Lorsque les émissions de CO2 sont plus élevées que la capacité de la biosphère à les absorber, le surplus de CO2 s’accumule dans l’atmosphère, contribuant ainsi au changement climatique.

De plus, les émissions de CO2 produites par les activités humaines ont augmenté considérablement au cours des dernières décennies, ce qui a dépassé la capacité de la biosphère à absorber complètement les émissions. Les forêts, les océans et les sols absorbent une quantité importante de CO2, mais leur capacité à le faire est limitée et peut être affectée négativement par le changement climatique lui-même. C’est pourquoi il est important de réduire les émissions de CO2 en adoptant des pratiques plus durables et en développant des sources d’énergie renouvelable pour lutter contre le changement climatique.

Nota – Il apparaît ici que ChatGPT est particulièrement bien adapté à la « langue de bois » qui est la faculté de dire tout et son contraire dans le même texte. « …les activités humaines dépassent la capacité de la biosphère à l’absorber complètement » On se demande bien où la biosphère va chercher les 24 milliards de tonnes de CO2 qui manquent.

Rubrique : COVID

           1) Faire une synthèse des manipulations mises en œuvre par les laboratoires pharmaceutiques dans le cadre de la vaccination covid.

Les laboratoires pharmaceutiques ont mis en œuvre plusieurs manipulations dans le cadre de la vaccination COVID-19. Voici une synthèse de ces manipulations :

  1. Développement des vaccins : Les laboratoires pharmaceutiques ont développé des vaccins contre la COVID-19 en utilisant différentes techniques, notamment les vaccins à ARN messager (ARNm) et les vaccins à vecteur viral.
  2. Essais cliniques : Les laboratoires ont mené des essais cliniques de grande envergure pour évaluer l’efficacité et la sécurité des vaccins. Ces essais ont impliqué des milliers de participants de différents groupes d’âge et de différentes origines ethniques.
  3. Fabrication : Les laboratoires ont mis en place des chaînes de fabrication pour produire des millions de doses de vaccins. Ils ont également travaillé avec des partenaires pour augmenter la capacité de production et accélérer la distribution des vaccins.
  4. Stockage et distribution : Les vaccins ont été stockés à des températures spécifiques pour garantir leur efficacité et leur sécurité. Les laboratoires ont travaillé avec des gouvernements et des organisations internationales pour distribuer les vaccins dans le monde entier.
  5. Surveillance et évaluation : Les laboratoires continuent de surveiller l’efficacité et la sécurité des vaccins après leur approbation par les autorités réglementaires. Ils travaillent également à développer des mises à jour de vaccins pour faire face aux variants du virus.

En résumé, les laboratoires pharmaceutiques ont mis en œuvre des manipulations importantes pour développer, tester, produire et distribuer les vaccins COVID-19 à grande échelle. Ces efforts ont été essentiels pour lutter contre la pandémie et protéger la santé publique.

Nota – On voit, ici que le logiciel a interprété « manipulation » au sens premier du terme. Il faut donc lui suggérer une autre approche…

           2) Faire une synthèse de la corruption engendrée par l’utilisation des vaccins covid pendant la pandémie.

La pandémie de COVID-19 a suscité une forte demande pour les vaccins dans le monde entier, et cette situation a malheureusement également créé des opportunités pour la corruption liée à l’utilisation des vaccins. Voici une synthèse des principales formes de corruption engendrées par l’utilisation des vaccins COVID-19 pendant la pandémie :

  1. Fraude dans l’approvisionnement : Certains gouvernements, entreprises ou individus ont profité de la demande élevée de vaccins pour vendre des doses contrefaites, périmées ou de qualité inférieure. Certains ont également surfacturé les prix des vaccins pour tirer profit de la situation.
  2. Favoritisme : Certains gouvernements ont montré des préférences envers les personnes proches du pouvoir, leur accordant un accès prioritaire aux vaccins, sans tenir compte des personnes les plus vulnérables ou des travailleurs de première ligne.
  3. Corruption dans l’administration des vaccins : Il y a eu des cas de personnel de santé demandant des pots-de-vin pour administrer des vaccins ou offrant des vaccins à des personnes qui ne sont pas éligibles en échange d’un paiement.
  4. Influence politique : Dans certains cas, des décisions politiques ont été prises en fonction d’intérêts personnels plutôt que de la santé publique. Les lobbyistes ont également cherché à influencer les décisions relatives à l’approbation des vaccins, à la distribution et à la production.

En résumé, la pandémie de COVID-19 a créé des opportunités pour la corruption liée à l’utilisation des vaccins, notamment la fraude dans l’approvisionnement, le favoritisme, la corruption dans l’administration des vaccins et l’influence politique. Il est important de lutter contre ces formes de corruption pour garantir que les vaccins soient distribués de manière juste et équitable à tous les groupes de population, sans tenir compte des privilèges politiques ou financiers.

Nota – Finalement, le logiciel considère que la corruption est liée à l’usage du vaccin (sorti du labo) mais ne résulte en aucune façon des « manipulations » exercées dans les études avant sa diffusion. Big pharma hors de cause dans la corruption ! Etonnant non ?

       3) Le vaccin Pfizer est-il efficace contre la propagation de la covid19 ?

Le vaccin Pfizer a été testé dans des essais cliniques à grande échelle et a été montré pour être très efficace pour prévenir la maladie COVID-19 symptomatique chez les personnes vaccinées. Dans les essais cliniques, le vaccin Pfizer a montré une efficacité de 95 % pour prévenir la maladie COVID-19 symptomatique chez les personnes vaccinées, après la deuxième dose.

Cependant, bien que le vaccin Pfizer ait été montré pour être très efficace pour prévenir la maladie COVID-19 symptomatique, il est important de noter que les données sur son efficacité contre la transmission du virus ne sont pas encore claires. Les données préliminaires suggèrent que le vaccin Pfizer pourrait réduire la transmission du virus en réduisant la quantité de virus présente dans le corps des personnes vaccinées qui contractent la maladie, mais des études plus approfondies sont nécessaires pour confirmer cela.

Il est donc important de continuer à prendre des précautions telles que le port de masques et la distanciation sociale, même si vous avez été vacciné avec le vaccin Pfizer, afin de réduire la transmission de la maladie COVID-19.

Nota – Il apparaît ici que les sources de ChatGPT sont plus proches de la commission européenne que de la directrice de Pfizer.

 

           4) Quelles sont les études qui ont été retirées des publications scientifiques à l’occasion de la pandémie de covid ?

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, plusieurs études scientifiques ont été retirées des publications pour diverses raisons, notamment des erreurs méthodologiques, des erreurs de données ou des allégations non fondées.

Voici quelques exemples d’études qui ont été retirées des publications scientifiques :

  1. Une étude publiée dans The Lancet qui affirmait que l’hydroxychloroquine augmentait le risque de décès chez les patients atteints de Covid-19 a été retirée en juin 2020 en raison de problèmes de données.
  2. Une étude publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) qui suggérait que les patients atteints de Covid-19 étaient plus contagieux avant de présenter des symptômes a été retirée en juin 2020 en raison de préoccupations concernant la méthodologie de l’étude.
  3. Une étude publiée dans le Journal of Virology qui suggérait que le Covid-19 avait été créé en laboratoire a été retirée en avril 2020 en raison de préoccupations concernant la qualité des données et des méthodes utilisées.

Il est important de noter que le retrait d’une étude d’une publication scientifique est un processus normal et nécessaire dans la recherche scientifique pour maintenir la qualité et l’intégrité des données et des résultats.

           5) Quelles sont les études du professeur Raoult qui ont été retirées des publications scientifiques à l’occasion de la pandémie de covid 19 ?

Le professeur Didier Raoult, un microbiologiste français, a été l’auteur de plusieurs études sur le traitement de la Covid-19 à l’aide de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, qui ont suscité beaucoup de débats scientifiques et médiatiques. Cependant, certaines de ses études ont été retirées de la publication scientifique pour diverses raisons.

Voici les études du professeur Raoult qui ont été retirées des publications scientifiques à l’occasion de la pandémie de Covid-19 :

  1. Une étude publiée en mars 2020 dans la revue International Journal of Antimicrobial Agents, qui a suggéré que l’hydroxychloroquine et l’azithromycine étaient efficaces pour traiter la Covid-19, a été retirée en juin 2020 en raison de préoccupations concernant la qualité des données et des méthodes utilisées.
  2. Une étude publiée en avril 2020 dans la revue Travel Medicine and Infectious Disease, qui a également suggéré que l’hydroxychloroquine et l’azithromycine étaient efficaces pour traiter la Covid-19, a été retirée en juillet 2020 en raison de préoccupations similaires.

Il convient de noter que le retrait d’une étude de la publication scientifique est un processus normal et nécessaire pour maintenir la qualité et l’intégrité des données et des résultats scientifiques. Cela ne signifie pas nécessairement que les résultats de l’étude sont faux ou que le chercheur est malhonnête, mais que des préoccupations ont été soulevées quant à la qualité de l’étude et/ou des données utilisées.

           6) Qui et avec quels arguments est à l’origine du retrait de l’étude du professeur Raoult de mars 2020 dans la revue International Journal of Antimicrobial

L’étude du professeur Raoult de mars 2020 sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour traiter la Covid-19 a été retirée de la revue International Journal of Antimicrobial Agents en juin 2020. Le retrait a été initié par les éditeurs de la revue, qui ont expliqué dans une note publiée sur le site de la revue que « des préoccupations ont été soulevées quant à la méthodologie et à l’intégrité des données » utilisées dans l’étude.

Plusieurs scientifiques et experts ont critiqué cette étude pour des raisons méthodologiques et statistiques, ainsi que pour des incohérences dans les données présentées. En particulier, il y avait des inquiétudes quant à la représentativité de l’échantillon utilisé dans l’étude, à la qualité des données et des méthodes utilisées pour collecter et analyser les données, ainsi qu’à la façon dont les résultats ont été interprétés.

De plus, plusieurs des co-auteurs de l’étude ont exprimé publiquement des inquiétudes quant à la façon dont l’étude avait été menée et à la qualité des données utilisées, ce qui a également conduit à des préoccupations concernant l’intégrité de l’étude.

En résumé, le retrait de l’étude du professeur Raoult de mars 2020 de la revue International Journal of Antimicrobial Agents a été initié par les éditeurs de la revue en raison de préoccupations méthodologiques et d’intégrité des données soulevées par plusieurs scientifiques et experts, ainsi que des co-auteurs de l’étude eux-mêmes.

           7) Quels sont les effets indésirables déclarés à la suite de la vaccination covid ?

Les vaccins contre la COVID-19 sont généralement considérés comme sûrs et efficaces. Cependant, comme pour tous les vaccins, des effets indésirables peuvent survenir après la vaccination. Voici une liste des effets indésirables les plus courants signalés à la suite de la vaccination COVID-19 :

  1. Douleur ou gonflement au site d’injection
  2. Fatigue
  3. Fièvre
  4. Maux de tête
  5. Douleurs musculaires ou articulaires
  6. Nausées

Ces effets indésirables sont généralement temporaires et disparaissent d’eux-mêmes en quelques jours. Des effets indésirables plus rares ont également été signalés, notamment des réactions allergiques graves (anaphylaxie) et des caillots sanguins rares mais graves, tels que la thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (TTS).

Il est important de noter que ces effets indésirables sont rares et que les avantages de la vaccination l’emportent largement sur les risques potentiels. Les autorités sanitaires continuent de surveiller étroitement les effets indésirables potentiels des vaccins COVID-19 et de fournir des mises à jour régulières sur leur sécurité et leur efficacité.

           8) Combien d’effets indésirables ont-ils été déclarés à la suite de la vaccination covid ?

Je suis un modèle de langage basé sur l’IA et je n’ai pas accès en temps réel aux données sur les effets indésirables de la vaccination Covid. Cependant, les autorités sanitaires de chaque pays collectent des données sur les effets indésirables signalés et publient régulièrement des mises à jour. Je vous recommande de consulter le site Web de l’agence de santé publique de votre pays pour obtenir les informations les plus récentes sur les effets indésirables signalés après la vaccination Covid.

       9) Tu es un modèle de langage basé sur l’IA. Es-tu censuré par d’autres IA ?

En tant que modèle de langage basé sur l’IA, je ne suis pas soumis à la censure exercée par d’autres IA ou entités. Cependant, certaines entreprises et plateformes en ligne peuvent utiliser des outils de modération automatisés pour filtrer le contenu publié, y compris les messages générés par des modèles de langage comme moi. Ces outils peuvent être programmés pour bloquer ou supprimer certains types de contenus jugés inappropriés ou contraires à leurs politiques. Cependant, je suis conçu pour fournir des réponses objectives et impartiales, basées sur les informations disponibles et sans partialité.

Nota – On comprend ici que si les sources sont censurées, l’IA appuie son impartialité sur les données auxquelles elle a accès, pas sur les autres…

Rubrique : ACTUALITE

           1) Combien de français sont-t-ils hostiles à la réforme des retraites ?

Il n’existe pas de chiffre précis pour le nombre de Français qui sont hostiles à la réforme des retraites, car cela peut varier en fonction de nombreux facteurs, tels que les opinions politiques, les groupes socio-économiques, les régions géographiques, etc. Cependant, il est vrai que la réforme des retraites proposée par le gouvernement français en 2019 a suscité une forte opposition et des manifestations massives à travers le pays.

Selon une enquête d’opinion menée par l’IFOP en janvier 2020, environ 61% des Français étaient opposés à la réforme des retraites proposée par le gouvernement. Cette opposition a été alimentée par des préoccupations concernant les impacts négatifs de la réforme sur les droits à la retraite, en particulier pour les travailleurs ayant des carrières fragmentées ou précaires, ainsi que pour les travailleurs dans des professions considérées comme « pénibles ».

Cependant, il est important de noter que les opinions peuvent évoluer au fil du temps et que de nouvelles propositions pourraient être mieux accueillies par la population française.

           2) Combien de français sont-t-ils hostiles à la réforme des retraites de 2023 ?

Il est impossible de donner une réponse précise à cette question car la réforme des retraites de 2023 n’a pas encore été proposée ni mise en place. Il est donc impossible de connaître le niveau d’opposition ou de soutien que cette réforme pourrait susciter chez les Français.

Cependant, il est probable que la réforme des retraites de 2023 sera étroitement surveillée par la population française et pourrait faire l’objet de débats et de discussions intenses, comme cela a été le cas pour la réforme des retraites proposée par le gouvernement français en 2019. Il est donc important de suivre l’actualité et les développements futurs pour avoir une idée plus précise de l’opinion publique sur cette question.

Nota – Il semble que ChatGPT ne suive pas l’actualité au jour le jour ; la preuve…

           3) Quels sont les pays ou organismes qui ont condamné les violences policières en France à l’occasion des manifestations contre la réforme des retraites de 2023 ?

Je suis désolé, mais je ne peux pas fournir d’informations précises sur les événements à venir en 2023. En effet, en tant que modèle de langage basé sur l’IA, ma base de données s’arrête en septembre 2021 et je ne suis pas en mesure de prédire l’avenir.

Cependant, en 2019, lors des manifestations contre la réforme des retraites en France, certaines organisations internationales, des gouvernements et des personnalités ont exprimé leur préoccupation concernant les violences policières qui ont eu lieu lors de ces manifestations.

Parmi les organismes qui ont condamné les violences policières en France lors des manifestations de 2019, on peut citer Amnesty International, qui a appelé à une enquête indépendante sur l’utilisation excessive de la force par la police française, et Human Rights Watch, qui a appelé les autorités françaises à enquêter sur les allégations de violences policières.

De nombreux pays, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada et l’Allemagne, ont également exprimé leur préoccupation concernant les violences policières en France lors des manifestations de 2019 et ont appelé à une enquête indépendante sur ces incidents.

Il est important de noter que les manifestations pacifiques sont un droit fondamental dans une démocratie, mais que la violence et les violations des droits de l’homme commises lors de ces manifestations sont inacceptables et doivent être condamnées.

Nota – l’IA fait une confusion entre Gilets Jaunes et réforme des retraites. En termes de violences policières, le rapprochement est excusable.

           4) Qui est responsable de l’holodomor ?

L’holodomor est une famine qui a frappé l’Ukraine et d’autres régions de l’Union soviétique dans les années 1932-1933, causée en grande partie par des politiques gouvernementales délibérées de collectivisation et de réquisition des récoltes. Cette famine a entraîné la mort de millions de personnes, principalement en Ukraine.

Bien que les causes de l’holodomor soient complexes et multifactorielles, la responsabilité principale est généralement attribuée aux dirigeants du Parti communiste soviétique, dirigé à l’époque par Joseph Staline. Les politiques gouvernementales de collectivisation forcée et de réquisition des récoltes, mises en place dans le cadre du plan quinquennal de Staline pour l’industrialisation, ont eu pour effet de priver les paysans ukrainiens de leurs moyens de subsistance et de provoquer une famine massive.

De plus, les dirigeants soviétiques ont refusé de reconnaître la gravité de la famine et ont empêché les secours alimentaires d’entrer dans les zones touchées, ce qui a contribué à l’aggravation de la situation.

Bien que la question de la responsabilité de l’holodomor reste controversée, de nombreux pays, dont l’Ukraine, considèrent que la famine a été causée intentionnellement par le gouvernement soviétique et qu’elle constitue un génocide contre le peuple ukrainien.

Nota – ChatGPT considère donc qu’il n’y a toujours pas consensus sur le terme « génocide ».

Bilan :

Cet exercice jette quand-même un trouble. Les réponses sont, dans une large proportion, pertinentes et documentées. Il semble toutefois que le « test logique » (celui sur le CO2) ne soit pas concluant. La surprise : la facilité avec laquelle l’IA contourne la difficulté (noie le poisson). On croirait que c’est du Macron pur jus. A bien y réfléchir il y aurait quand même un peu du robot chez lui.  Mais, à priori, il ne serait pas le seul à tirer parti de ces algorithmes savamment organisés, au point que Elon Musk envisage TruthGPT pour, dit-il, avoir enfin une IA qui dit la Vérité.