C’est « Le Média » qui s’y colle dans cette vidéo .
Une recherche sociologique peu convaincante alors qu’une remise en question serait quand même un peu plus crédible.
A qui doit-on la montée du RN ? Forcément, à la gauche !
Désolé de le dire, mais ses « intellectuels » ont toujours un train de retard. Pourquoi ? La peur bien sûr !
On parle des Gilets Jaunes et de l’image « facho » qu’ils ont générée au début du mouvement.
La gauche s’est donc une fois de plus plantée par peur d’adhérer à un mouvement qui avait au moins l’avantage d’unir des forces populaires. Mais finalement, on constate que l’organisation de réunions un peu partout dans le pays permet des échanges qui mettent en évidence un certain consensus autour de la lutte de classes.
Mais patatras, arrive Covid !
Personne à gauche ne fait le lien entre l’unicité des mesures adoptées sur la planète pour contenir la « plandémie » et les contrats passés par la plupart des pays concernés avec McKinsey.
La Gauche se contente donc de suivre la doxa (en clair elle se tait) pendant que le côté « obscur » des Gilets Jaunes se pose des questions. La bataille est perdue à ce moment-là. Les gens qui se penchent sur les chiffres apportent la preuve qu’il n’y a pas plus de pandémie que d’épidémie. Il y a surtout des milliards dépensés pour maintenir la population dans un état de terreur qui la paralyse. La gauche suit le « mouvement ».
Parallèlement, le même côté « obscur » aborde la question du CO2. Des scientifiques de haut vol (comme Raoult pour covid) mettent en doute les modèles du GIEC. Où est la gauche dans le débat ? Toujours dans la doxa. La peur d’être étiquetée complotiste ou antivax rend ses représentants muets sur ces sujets qui ont pourtant ébranlé la société française.
Arrive le conflit ukrainien.
La gauche se retranche derrière le droit international pour condamner « l’invasion russe ». Elle oublie les accords de Minsk, elle oublie que la guerre n’a pas commencé le 22 février 2022 mais bien en 2014 avec l’arrivée en Ukraine de la CIA et Victoria Nuland, BHL et consorts, sur la place Maïdan. La destruction de Nord-Stream ne fera pas plus réagir nos représentants qui n’ont qu’une seule supplique : « pourvu que les médias ne nous ferment pas leurs portes comme ils l’ont fait pour les complotistes ». Un développement ici
Arrive enfin Gaza.
Il n’y a plus de droit international, mais une fois de plus la gauche se cache derrière l’ONU en oubliant de rappeler que Nétanyahu est un menteur notoire (déjà identifié comme tel par Chirac et Sarko) et admet les « atrocités du 7 octobre » alors qu’aucune enquête indépendante n’a été diligentée en raison du refus de l’administration israélienne. La peur du « condamnez-vous ? » paralyse donc tout raisonnement critique qui pourrait commencer par : « mais, avez-vous fait votre boulot de journaliste pour savoir exactement ce qu’il s’est passé le 7 octobre, plutôt que de suivre la propagande répandue par la seule chaîne (i24news) admise par Israël sur place ? ». Non ! Surtout ne pas froisser ceux qui vous reçoivent et qui tirent leurs éléments de langage de Jupiter himself.
Pourquoi donc « les prolos votent RN »? Parce que les prolos sont sur les réseaux sociaux et les gens qui s’affichent RN (Virginie Joron par exemple) portent les combats contre la corruption du pouvoir en place. La gauche y est totalement absente.
Quand on est censé porter le sentiment révolutionnaire, on arrête d’avoir peur de la cour du roi.
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