CO2, COVID, UKRAINE : des thèmes de discordes faits pour diviser les peuples.

Le système capitaliste est au bout du rouleau ! Sa seule chance de survivre aux crises financières à répétition : diviser les peuples, ou les soumettre. A l’Ouest, la Science a remplacé la Religion. Le complotisme devient l’hérésie des temps modernes. Vous vous êtes fait manipuler ? Mais non, n’ayez pas honte, ce ne sera pas la dernière fois.

Inutile de faire la liste des crises financières qui frappent les épargnants après chaque arnaque ou cycles inflationnistes soutenus plus ou moins bien par les banques centrales dans un numéro d’équilibriste visant à limiter les dépenses tout en maintenant l’activité économique.

Les victimes de ces crises sont majoritairement les pauvres mais aussi la classe moyenne. Ceux qui en sont à l’origine : les riches. Dans le pire des cas ils sont ruinés, mais leurs réserves, souvent immobilières (ou suffisamment diversifiées) leur permettent de ne pas sombrer dans la pauvreté. Plus ce système se développe sur la planète, plus la fréquence des crises financières augmente. Le basculement du « bloc asiatique » dans l’économie de marché dans les années 90 en fait la démonstration et le cours de l’or, qui traduit le niveau de confiance des épargnants (ceux qui peuvent encore se le permettre) dans l’Economie, passe de près de 200 dollars l’once à plus de 2000 en ½ siècle.

L’économie capitaliste a donc besoin de confiance pour fonctionner mais à chaque crise elle perd un peu plus de « supporters ». Il faut donc trouver des solutions pour diversifier l’Offre en créant de nouveaux besoins sur lesquels les peuples vont se « crêper le chignon ».

Le GIEC : Grand Instrument d’Enfumage des Consciences.

Il fallait bien instaurer un organe intergouvernemental dirigé par un économiste pour mobiliser autour d’un nouveau constat : ça se réchauffe ! Les Etats y mettent 60 millions de dollars par an pour, au final, se faire vilipender à l’issue des COP;  maso ou manipulateurs? On peut éventuellement se poser la question. 

En 1972 le club de Rome ciblait les limites de cette économie basée sur la croissance sans trop se soucier d’un phénomène d’augmentation des températures qui n’était pas encore très marqué. Deux ans plus tard, René Dumont révèle les dangers qui pèsent sur l’eau potable. Jusque-là les alertes sont fondées. La croissance démographique et les pollutions diverses et variées qui en résultent menacent les écosystèmes et c’est bien cette organisation des sociétés « modernes » qui en est la cause.

 Une décennie plus tard, manifestement, il faut ajouter des couches pour susciter des réactions qui doivent engendrer de nouveaux besoins dont l’économie raffole. C’est ainsi que sous couvert de rapports scientifiques plus ou moins pertinents, le GIEC émet l’hypothèse d’un réchauffement climatique anthropique dû à l’augmentation des Gaz à Effet de Serre.

Effectivement, mais « ça se réchauffe » autant que quelques années avant la révolution française où sècheresses et famines ont certainement contribué à l’explosion sociale que l’on connait. CO2 occupait une part minime dans l’atmosphère, peu différente de celle qu’elle occupe aujourd’hui (0.04% en moyenne), et la vapeur d’eau (autre gaz à effet de serre, puisque 3 atomes) variait entre 1 et 5% (25 à 125 fois plus) permettant ainsi à la planète de rester « habitable ». Ce simple constat arithmétique est tellement évident que, forcément, les « scientifiques » ont dû trouver des arguments beaucoup moins « digestes » (rayonnement, absorptions, dispersion, précipitation…) afin que le raisonnement soit beaucoup moins intuitif et décourage le questionnement. Il en est de même pour l’acidification des océans. Trouver des pages qui expriment un avis contraire à la « doxa » (comme ici) relève du parcours du combattant. Contrairement aux idées reçues il n’y a donc pas consensus et quelques scientifiques (associés à la relecture des rapports) formulent des critiques.

En fait, quelques chiffres donnés par des sites spécialisés ne semblent pas émouvoir les « experts » qui s’y expriment. Ils sont quand même rares (pour ne pas dire inexistants) à les afficher de façon aussi abrupte.

 Il manque donc 30 milliards de tonnes de CO2 chaque année pour alimenter la biosphère ? Comment est-ce possible ?

Bobola nous en dit plus.

 Pour rester plus terre à terre, quand le jardinier, les pieds plantés dans son potager pendant le labour, lève la tête et constate que l’anticyclone dégage le ciel, il se dit : « chouette, il va geler »  (oui, pour ceux qui ne le savent pas, le gel sur une terre fraichement retournée, ça crame le racinaire des mauvaises herbes). En fait, le principal gaz à effet  de serre (la vapeur d’eau) va se carapater pour laisser la place à un vide favorable à la perte de chaleur du sol. Si le CO2 avait une réelle influence sur le réchauffement, les nuits étoilées ne seraient pas si fraiches. Par contre, si le soleil entre dans une période d’éruptions, comme en ce moment, et déclenche une augmentation de puissance de 1 milliwatt par mètre carré au niveau du sol (sur les 200 watts qu’il produit en moyenne habituellement), la partie de notre planète exposée à ce surplus de rayonnement (en gros ¼ de sa surface) reçoit l’équivalent de 142 centrales nucléaires de 900 Mw. De quoi dilater tous les gaz exposés et rendre l’évolution de leur concentration exponentielle. On a donc bien une courbe de CO2 (mais pas que) qui suit la courbe de montée en température et forcément l’inverse est également vrai.               

Comment a-t-on pu admettre que le CO2 était responsable du réchauffement ? La « Science » bien sûr. Mais surtout cette science qui combine et qui codifie les modèles informatiques pour prédire l’avenir qu’il s’agisse de valeurs boursières, de météo ou de climat. Notons au passage que lorsqu’il s’agit de météo, les modèles se plantent allègrement à chaque déplacement intempestif d’un anticyclone et la bourse plonge dès qu’un arnaqueur n’a pas respecté la règle. A l’évidence, on a oublié d’intégrer certains paramètres dans les formules. Pour ceux qui ont la prétention de définir le climat, ils tirent les données de météos plus ou moins locales ou anciennes avec des marges d’erreurs qui s’accumulent et rendent les résultats peu convaincants. Pour peu que l’on fasse intervenir le satellite ou les balises dans la collecte des données, plus aucun doute n’est possible : « la Science a forcément raison: Dieu existe, je l’ai rencontré ».

Un fait est certain : ça se réchauffe. Un autre est très discutable et discuté : le CO2 est responsable et le phénomène est anthropique. A la question : « mais pourquoi fait-il de plus en plus chaud ? », on peut répondre : mais pourquoi a-t-il fait aussi chaud quand la machine n’existait pas? L’interrogation est une fois de plus insupportable et on demande à la Science d’apporter une réponse, comme dans le passé il fallait chanter pour attirer les nuages. C’est ainsi que les débats font rage au sein même des populations qui ont pris conscience qu’elles auront à souffrir plus que les autres de la situation, mais curieusement le choc est plus violent au bas de la pyramide où les arguments fusent de toutes parts avec des justifications plus ou moins fantaisistes.

Dans le domaine de l’Eau par exemple :

Globalement, sur la planète, dire que l’eau va manquer est une contrevérité. L’eau obéit à un cycle (évaporation, précipitation, stockage) qui ne varie pas car les phénomènes d’évaporation et de précipitations sont constants. Le problème principal, comme pour l’électricité, c’est bien le stockage. La « batterie » principale c’est la glace (celle des glaciers). Les « piles », ce sont les roches qui accumulent plus ou moins de réserves en fonction des précipitations et du type de sols qui fonctionnent comme des éponges. Si le réchauffement fait disparaître les glaciers, le débit des fleuves va se réduire et c’est bien là que l’activité de l’homme peut compromettre son organisation (pas celle de la planète, elle en a vu d’autres). Des centrales nucléaires à l’agriculture les choix politiques sont donc indispensables pour adapter les activités au manque d’eau, notamment pour refroidir ou satisfaire des besoins moins gourmands. Pour les nappes phréatiques, dès lors que leur niveau supérieur est atteint (celui au-delà duquel l’eau est « perdue » en revenant aux cours d’eau ou à la mer), que l’on y puise ou pas la ressource ne changera pas significativement les quantités présentes dans le milieu naturel. C’est bien pendant que l’évaporation est la plus intense que les nappes vont baisser et que les stockages artificiels prennent toute leur importance (barrages, bassines…) pour alimenter le milieu naturel et les activités (en espérant qu’elles se soient adaptées en fonction d’un historique constaté sans forcément passer par un modèle informatique). Les combats doivent donc cibler les choix économiques (et donc industriels) et non les dispositifs de stockage qui limitent l’impact du réchauffement sur l’environnement immédiat. Il en est de même pour la neige artificielle qui permet de stocker un volume d’eau qui, quoi qu’il advienne, s’écoulera vers le milieu naturel à plus ou moins brève échéance.   

L’urgence est donc de mettre en œuvre des politiques adaptées au réchauffement. Mettre en cause le CO2 permet aux autorités de ne rien faire (on le voit bien avec les COP qui se succèdent) en attendant les échéances modélisées qui dépasseront les mandats en cours. Pendant ce temps, les rendements des investissements à court terme, ceux que la Bourse privilégie, sont maintenus. D’ailleurs, il ne faut pas s’étonner que ce soit Bill Gates qui donne le La dans son livre « Climat : comment éviter un désastre ».

Et pour illustrer la démarche « Tatiana » nous a fait une belle analyse des moyens mis en œuvre: LA (TERRIFIANTE) HISTOIRE D’UNE BOURGEOISIE DÉCÉRÉBRÉE© Tatiana Ventôse

Le discours écolo est donc, ici, à contresens des intérêts des populations. Une fois de plus, ce sont bien les choix économiques qui conditionnent la pérennité des ressources. CO2 est le miroir aux alouettes qui masque la fin d’un système avec des ressources énergétiques qui s’épuisent…ou pas. Là aussi les échéances sont discutées car on connaît mieux la surface de Mars que les profondeurs de la terre et des océans. Des sujets de discordes plus ou moins entretenus dès lors qu’ils permettent de soumettre les peuples à des choix économiques supposés validés par La Science.   

Bigpharma préfère les solutions scientifiques innovantes.

La parenthèse COVID a donc été une nouvelle occasion de présenter la Science à son apogée. La peur panique qui s’est emparée des populations (avec l’influence plus ou moins calculée des médias) a contraint les Etats à trouver des solutions et la planète a opté pour le Dieu Vaccin. Les quelques dirigeants qui ont suggéré des médicaments (Trump, Bolsonaro…) ont vite été rattrapés par une majorité de médias armés d’une batterie d’étiquettes (sans rapport avec les choix opérés) et d’études bidonnées financées par les labos. Les autres dirigeants, peu ou pas équipés contre ce nouveau fléau, ont suivi le mouvement. Certains n’ont rien dit mais ne vaccinent plus depuis longtemps ; d’autres vaccinent toujours mais ont utilisé d’autres moyens pour, finalement, obtenir des taux de mortalité bien inférieurs, principalement en Inde, en Extrême Orient, et en Afrique (hors Afrique du Sud qui a vacciné plus que ses voisins et dont le taux de mortalité est le plus élevé du continent). Le « Dieu » bienfaiteur a donc une nouvelle fois échoué et, comme en religion, inutile de se poser des questions : ses voies sont impénétrables: Une science devenue religion

C’est, en substance, ce qu’il faut retenir du discours médiatique orchestré par les pouvoirs financiers : « surtout ne pas faire de comparaison entre mortalité et vaccination dans les différents pays de la planète : comparaison n’est pas raison. »

De la même façon, en France, aucune statistique n’est disponible pour établir le comparatif mortalité/statut vaccinal. La CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs) répond simplement que ces statistiques n’existent pas. « Circulez, il n’y a rien à voir ! » Comme au temps où la terre était plate, ceux qui disaient le contraire étaient des hérétiques et méritent aujourd’hui le châtiment de Conspiracy Watsh via une page wikipédia à charge. Quelques chefs de services de réanimation osent déclarer qu’il n’y a aucune différence entre vaccinés et non vaccinés qui décèdent à l’hôpital mais leur témoignage se noie dans les méandres des réseaux sociaux où on entend un peu tout et n’importe quoi. Isoler ceux qui parlent de choses qu’ils connaissent reste une stratégie parfaitement maîtrisée depuis la mise en œuvre de cette opération commerciale d’ampleur inédite.  

Si l’on rapproche les recherches statistiques de Pierre Chaillot des chiffres de mortalité de la grippe dans le monde (680 000 par an selon l’OMS), comparée à la mortalité COVID (désignée ainsi par le protocole de l’OMS) qui s’élève à près de 7 millions en moins de 3 ans, on peut estimer qu’on a laissé mourir 5 millions de personnes faute de soin. Morts sous protection sanitaire

Au final, plus de 13 milliards de doses injectées pour un coût global estimé à 200 Milliards d’Euros ou de Dollars. Un don au Vatican (qui en a bien besoin) aurait eu le même effet (en excluant les « secondaires »).

Arte TV avait également fait un reportage sur les effets indésirables en Allemagne, mais comme pas mal d’enquêtes qui portent sur le sujet, elle a disparu des replays. Vaccination anti-Covid | ARTE Regards © ARTE

Mise à jour du 6 mars 2023.

Le ministre de la santé britannique démasqué. Il a voulu organiser la peur pour favoriser la vaccination.

Ukraine, la goutte qui fait déborder le vase.

Pour ne rien arranger et poursuivre dans l’affrontement des blocs économiques, les discordes entre populations aussi mineures soient-elles, sont l’occasion de prendre parti pour l’une ou pour l’autre en les manipulant à distance. Lorsque l’implication religieuse n’est pas présente, on invente autre chose. Si les populations ne s’entendent plus, il suffit qu’un côté prenne parti pour l’une pour que l’autre soit défendue par le camp adverse. La propagande l’a bien compris, il suffit de coller des étiquettes pour éliminer tout débat et laisser libre cours au narratif préparé en amont. Et si cela ne suffit pas, la majorité désignée par les auteurs du roman admettra sans peine que la censure a de « bons côtés ».   

L’Ukraine ne déroge pas à la règle. Malgré les efforts diplomatiques mis en œuvre par l’Europe en 2014 à l’occasion des accords de Minsk, le Dniepr est resté une frontière entre deux populations que l’histoire a toujours séparées. Outre les atouts stratégiques spécifiques aux régions en cause, les deux blocs s’affrontent sur des thèmes plus économiques qu’idéologiques, qui ignorent les intérêts des habitants. On réveille donc les vieux démons en faisant croire que le combat entre démocraties et dictatures est bien présent afin de pousser les peuples à entrer en résistance. En résistance certes, mais à distance. L’empathie se répand mieux lorsque sa cible a peu de chance d’entraver la liberté de celui qui l’éprouve.

Il aurait été pourtant assez simple de négocier une frontière isolant les régions qui veulent se séparer de l’Ukraine et ainsi mettre fin à un conflit qui dure depuis la fin de l’URSS. On a divisé par 8 les 256 000 km² de l’ancienne Yougoslavie, on aurait probablement pu retirer 125 000 km² aux 600 000 km² de l’Ukraine (dont 170 00027% du pays– ont été achetés avant la guerre par Bill Gates, Blackrock et consorts) sans qu’il soit nécessaire de sombrer dans ce marasme qui, de toutes les façons, se règlera sur ces bases… ou ne se règlera pas…

Les objectifs réels ne sont donc pas dans le déplacement des frontières mais bien dans la soumission des peuples qui s’exterminent pour servir les intérêts géopolitiques des blocs qui s’affrontent. Robert Kennedy nous en donne quelques exemples.

 

Conclusion

CO2, Vaccins et Démocratie sont les nouveaux concepts qui permettent aux puissances dominantes de soumettre les peuples à des choix économiques comme les religions ont pu le faire (et le font encore) en présentant ce qui est bien et ce qui est mal. Le principal objectif étant de diviser les populations sur ces thèmes pour maintenir la stabilité à court terme nécessaire au monde des affaires. 

« Equilibre et sens critique » : un vœu pieux comme mettre fin à la GUERRE en UKRAINE ? | Guy Mettan © Anti | thèse