Comment justifier la mise en place d’un pass sanitaire quand la vaccination ne fait pas la preuve de son efficacité. Les pays qui ne vaccinent que les volontaires et qui soignent les autres ont un taux de mortalité moindre.
La France n’est pas une exception et dans une part de plus en plus grande de pays, les médecins semblent s’être mis à soigner leurs patients qui ressentent les symptômes et ont confirmation par un test PCR de leur contamination par un variant du Sarscov2.
Parmi ces pays où la vaccination n’est pas soumise à une propagande intense et où il apparaît dans les statistiques à la fin du mois d’août 2021 que le taux de mortalité est globalement inférieur à celui où la vaccination est devenue une condition à la libre circulation on trouve :
Pays Taux de vaccination Taux de mortalité pour 10 000 hts
Egypte 3.18% 1.64
Algérie 4.72% 1.17
Sénégal 4.97% 1.02
Australie 34.8% 0.39
Japon 48.5% 1.26
Arabie Saoudite 50.17% 2.43
Ile Maurice 56.16% 0.21
Iles Maldives 56.39% 3.75
Norvège 58.33% 1.48
Finlande 59.91% 1.85
Qatar 72.23% 2.01
Islande 76.91% 0.94
Emirats A.U. 89.22% 2.04
Pour ceux qui n’offrent que la solution de la vaccination à leur population avec menaces d’exclusion sociale plus ou moins contraignantes on trouve :
Pays Taux de vaccination Taux de mortalité pour 10 000 hts
Danemark 70.23% 4.30
Italie 62.84% 21.32
Autriche 57.54% 11.97
Portugal 69.94% 17.36
Espagne 68.42% 17.87
Allemagne 60.21% 11.07
Lituanie 53.97% 16.79
Irlande 66.75% 10.18
Grèce 53.41% 12.87
France 63.57% 17.06
Source des données chiffrées portées sur graphe excel commenté (sinon, pas facile à lire ici).
En résumé, les pays qui organisent la contrainte vaccinale ont un taux de mortalité supérieur à 10 décès pour 10 000 habitants (à l’exception du Danemark, 4.3 décès pour 10 000 habitants)
Ceux qui semblent soigner autrement (avec un taux de vaccination inférieur à 6%) ont un taux de mortalité inférieur à 2 pour 10 000 habitants.
Pour les pays qui ont dépassé un taux de vaccination de 70% (Qatar, Islande, Emirats) le taux de mortalité est proche de 2 pour 10 000, exception faite de l’Islande (0.94) qui reste un cas à part en raison de sa caractéristique insulaire et de sa latitude peu fréquentée par les virus.
La particularité de l’Inde
Ce pays est le seul à avoir été autorisé à utiliser l’ivermectine au printemps dernier, pendant 40 jours. Si le taux de mortalité du pays est (3.16 pour 10 000 habitants) contesté en raison de la fiabilité des chiffres annoncés, il demeure que le tracé de la courbe (qui résulte de données hospitalières -mais les décès n’ont pas forcément tous lieu à l’hôpital-), affiche un net rebond de mortalité à la fin de ces 40 jours pour revenir ensuite sur une décrue comparable à celle vécue les 20 derniers jours qui ont suivi l’autorisation du médicament.
Source des données chiffrées portées sur courbe excel commentée.
Comment soigne-t-on les patients atteints par le virus ?
Un bon nombre de médecins utilisent en France une panoplie importante de médicaments en fonction des particularités des patients concernés. L’ivermectine est un des plus utilisé car il peut être prescrit pour soigner des symptômes relativement répandus ce qui permet aux praticiens de moins apparaître dans la « dissidence ». Il faut donc éviter d’en donner une liste exhaustive afin de maintenir leur « anonymat » le plus longtemps possible pour qu’ils puissent sauver un maximum de gens. Si pour certains ils auront agi comme un placébo, il semble que pour l’Inde ce ne soit pas le cas.
Les médicaments utilisés ont-ils une incidence directe sur le virus ?
Probablement pas. Ce sont des médicaments, pas des anticorps.
Si le but des vaccins est d’agir sur la production d’anticorps (avec leurs limites à détecter les variants et les neutraliser), il semble que le médicament permette de soulager le système de défense (qui entre en surchauffe lorsque les attaques sont généralisées à tout l’organisme) pour lui permettre de produire les anticorps nécessaires à l’éradication du virus. Si ce phénomène se vérifie un jour scientifiquement, il démontrera que le corps humain est plus efficace que les laboratoires pour trouver la bonne combinaison au bon moment. Il suffit juste de soulager le système pour lui permettre une production adaptée. Toutes les études qui ont été conduites pour démontrer l’inutilité des médicaments se sont bornées à vérifier leur impact sur le virus et forcément, ils n’en avaient aucun.
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